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Lapins

Lapins

Les lapins nains sont des petits mammifères folivores/herbivores et appartiennent à l’ordre des lagomorphes. Très sociaux et actifs surtout au crépuscule et pendant la nuit, ils vivent en groupes sociaux dans la nature. Ils ne doivent en aucun cas être maintenus seuls, même en tant qu’animaux de compagnie. Ils se sentent le mieux en couple (un mâle castré et une femelle) ou en groupes plus importants. Les lapins nains ont une espérance de vie d’environ 8 à 12 ans. Ils atteignent une taille d’env. 50 cm et un poids d’env. 2 kg.
Habitat naturel

Le lapin est originaire du sud-ouest de l’Europe, mais il s’est répandu rapidement vers le nord-est. En pleine nature, il vit dans les prairies et à la lisière du bois et préfère les paysages ouverts, couverts d’une basse végétation de graminées et d’herbes. On trouve souvent les lapins dans les parcs et les jardins.

En tant qu’animaux «folivores/herbivores», leur menu est composé de différentes plantes vertes. La nature enrichit l’offre de nourriture et la complète de racines, de légumes et de fruits.

L’habitat naturel des lapins sert de modèle au développement des produits «Rêve de Lapin» adaptés à l’espèce et à son comportement.

Biologie alimentaire

Comme tous les autres petits mammifères, les lapins ont aussi des besoins nutritionnels et physiologiques spécifiques.

Le système digestif notamment est important pour une vie saine et pleine de vitalité.

Dents

La mâchoire supérieure et la mâchoire inférieure comportent respectivement deux incisives. Plus petites et situées derrière les incisives supérieures, les deux incisives supplémentaires n'ont aucune fonction. Les incisives et les molaires des lapins ont un point commun : elles ont une croissance continue pendant toute la vie du lapin et poussent d’env. 8 mm par mois.

Ce que cela signifie :

a) la position des dents doit être correcte afin de permettre l’usure des dents et il ne faut pas laisser pousser les dents de manière incontrôlée

b) le choix des aliments est un facteur très important pour l’usure optimale des incisives et des molaires. Une grande structure de fibres est indispensable.

Estomac

Les lapins ont un estomac qu'ils gavent en permanence. L’estomac n’est que très peu musclé et ne peut pas transporter de manière autonome la bouillie d’aliments vers les sections suivantes de l’intestin.

Ce travail est effectué pour ainsi dire par les rations d’aliments qui suivent.

C’est aussi la raison pour laquelle les lapins doivent consommer en moyenne 80 à 120 petites portions par jour.

Ces portions doivent être adaptées au besoin d’entretien des animaux adultes ou à la croissance des jeunes lapins. On évite ainsi des problèmes de digestion et d’embonpoint.

Appendice

Le gros intestin est ce qu’on appelle la chambre de fermentation. Les particules fines de cellulose brute, que des bactéries spéciales transforment en protéines, en vitamines du complexe B et en vitamine K, y parviennent.

De l’intestin sortent des excrétions (en forme de petites crottes et enveloppées de mucus), que le lapin mange à nouveau. Ceci est un processus naturel particulièrement important pour la santé du lapin.

Besoin en calcium

Chez les lapins, le métabolisme du calcium est spécial. Le calcium existant dans le corps se trouve principalement dans les os et les dents. L’apport de calcium avec l’alimentation est ainsi particulièrement important pour le maintien en bonne santé des animaux.

Une teneur élevée en calcium chez les lapins adultes peut entraîner du sable urinaire ou même des calculs vésicaux, car celle-ci est excrétée par l’urine. Il est donc important de choisir les composants alimentaires corrects.

Teneurs en calcium optimales dans l’alimentation de base

Jeunes animaux : 0,9%*

Animaux adultes : 0,6%

*Par rapport aux lapins adultes, les jeunes animaux ont besoin d’une teneur supérieure en calcium, car leur croissance n’est pas encore achevée.

Importance du rapport fibres brutes/amidon

Fibres brute :

La fibres brute est particulièrement importante pour la santé des lapins : pour la digestion, l’intestin et, avec la grande structure des fibres, pour l’usure des dents. Une bonne alimentation devrait contenir environ 20% de fibres brute.

Amidon :

L’amidon procure principalement de l’énergie et doit être présent en quantité limitée dans l’alimentation. La valeur indicative de l’amidon pour un bon aliment est inférieure à 7%. En outre, l’apport en énergie doit être qualifié de suboptimal.

Une modification du rapport fibres brutes/amidon peut conduire dans la durée à des dégradations de la santé :

Trop peu de fibres brutes entraîne la constipation, la modification de la flore intestinale et le dysfonctionnement de l’intestin.

Trop d’amidon entraîne la diète, des modifications de la flore intestinale, la production de gaz, la diarrhée, la fermentation, l’adiposité.

Si l’on considère ces arguments, la recommandation des vétérinaires de respecter le rapport cellulose brute-amidon de 3:1 comme valeur minimale devient claire.

Comment puis-je connaître vraiment la teneur en amidon des aliments ?

La composition vous y aide grandement : les grains de céréales entiers (avec l’amande farineuse contenant de l’amidon), les fèves, les pommes de terre ou les petits pois indiquent qu’il faut s’attendre à une teneur élevée en amidon.

Entretien et environnement

Un lapin ne vit pas volontiers tout seul. Nous recommandons de maintenir un couple composé d’un mâle castré et d’une femelle. Le maintien d’animaux de même sexe non castrés peut entraîner des morsures quand les animaux atteignent la maturité sexuelle. Il ne faut pas maintenir les lapins avec des cochons d’Inde ou d’autres rongeurs. Les animaux ont différents modes de communication, ce qui peut entraîner des conflits.

Emplacement de la cage

Le mieux est de placer la cage à un endroit à l’abri des courants d’air et sans ensoleillement direct. Dans le meilleur des cas, la cage est surélevée. Les animaux ont alors une meilleure vue et ont moins rapidement le sentiment d’être des proies. La température ambiante optimale se situe entre 18 et 22°C.

Taille de la cage

Pour deux lapins, nous recommandons au moins les dimensions suivantes : 150x60x50 cm (l x p x h). De plus, ils ont besoin de faire de l’exercice chaque jour sous surveillance. Les modes de comportement naturels, comme par exemple les sauts abondants, la découverte et le jeu avec le partenaire, peuvent ainsi s'épanouir.

Équipement de la cage

L’équipement correct est particulièrement important, afin que les lapins se sentent bien aussi dans leur cage. Pour cela, l’équipement comprend entre autres une maisonnette mesurant au moins 35 x 20 x 35 cm pour chaque animal. Ils aiment volontiers aussi avoir une vue sur tout. Chaque cage comprend donc aussi une couchette surélevée en supplément. Les aliments doivent être proposés dans des écuelles stables en glaise ou en céramique et l’eau, au mieux, dans un biberon ou dans une coupe. Un bol a l’avantage de pouvoir contenir davantage de liquide, car ce mode d’abreuvement stimule le comportement naturel. Il faut mettre suffisamment de foin à disposition dans un râtelier à foin pouvant être refermé par un couvercle.

Litière

Le mieux est d’utiliser une litière absorbante et liant les odeurs et l’ammoniac. Les types de litières à base de lin ou de paille ainsi que cosy bedding ou Bed O´Linum conviennent bien.

Maintien en plein air

Le maintien en plein air est possible pendant toute l’année. Ce faisant, il faut veiller à protéger les animaux contre les courants d’air, l’ensoleillement direct, la pluie et les prédateurs. Il est important également de sécuriser l'abri contre l’enfouissement. En cas de maintien en plein air en hiver, il faut savoir qu’entre autres le métabolisme des lapins change, la robe s'épaissit et les voies respiratoires sont plus encombrées qu’en été. Le besoin en vitamines et en protéines augmente. Il faut sélectionner des aliments adaptés aux besoins. De plus, une maisonnette à l’abri du gel ou un refuge est indispensable pour l’hiver.

Indications sur les maladies

À quoi puis-je vraiment reconnaître que mon animal est malade et qu’il ne se sent pas bien ?

Il est important d’observer l’animal chaque jour. Seule une personne le connaissant bien remarque, par exemple, qu’il se comporte différemment, qu’il se détourne ou se sépare du groupe ou de son détenteur et quand il boit moins et s’alimente moins. Une perte de poids et une modification du comportement quand il excrète ou urine peuvent être aussi des signes précurseurs d’une maladie. De plus, le comportement de toilette et d’entretien est souvent réduit chez les animaux malades, ce qui rend le poil hirsute. Les signes précurseurs de douleurs sont par exemple un dos courbé, une position ramassée, le poil hérissé, des yeux à moitié fermés et un grincement des dents. Il faut absolument consulter un vétérinaire si l’une de ces anomalies est constatée.

Vaccins importants

Myxomatose et RHD sont la maladie virale la plus fréquente chez les lapins.

Myxomatose

La myxomatose est une maladie virale provoquée par le Leporipoxvirus (virus du fibrome du lapin). Elle est transmise par des insectes piqueurs ou par contact direct avec des lapins malades et survient principalement au printemps et en automne. Cette maladie est très contagieuse et son issue est partiellement mortelle (le temps d’incubation est de 4 à 10 jours). Les symptômes sont entre autres des gonflements à la tête et dans la zone de l’arrière-train ainsi que des difficultés à respirer et à avaler. Il est conseillé de protéger les lapins contre la myxomatose.

RHD

RHD signifie Rabbit Hemorrhagic Disease. En français, la maladie virale est connue sous nom de myxomatose. Son agent infectieux est le Calicivirus qui peut survenir pendant toute l’année. Le temps d’incubation est de 1 à 3 jours. Le virus est transmis entre autres par le contact direct avec des animaux malades, par l’absorption d’aliments verts contaminés ou par des insectes piqueurs. Les symptômes peuvent être très variés. Les animaux malades cessent de s’alimenter et meurent soudainement en partie également sans signes précurseurs. Un écoulement de sang du nez et dans l’urine est souvent reconnaissable. RHD est une maladie très contagieuse qui ne peut pas être traitée. Un vaccin précoce est indispensable non seulement pour le maintien en plein air, mais aussi pour le maintien dans un appartement (les insectes piqueurs peuvent parvenir dans l’appartement et les virus peuvent rester collés sur les chaussures et y pénétrer). Différents vaccins existent. Veuillez demander à votre vétérinaire quel vaccin serait judicieux et à quels intervalles il faut répéter la vaccination.

Cochons d’Inde

Cochons d’Inde

Les cochons d’Inde sont des petits mammifères phyllophages/herbivores et appartiennent à l’ordre des rongeurs. Très sociaux et actifs principalement au crépuscule et pendant la nuit, ils vivent en groupes sociaux dans la nature. Même comme animaux de compagnie, ils devraient être maintenus au moins avec un congénère. Les cochons d’Inde ont une espérance de vie d’environ 6 à 8 ans et atteignent une longueur d’env. 30 cm et un poids de 450 g à 1 kg.
Habitat naturel

Les cochons d’Inde viennent à l’origine d’Amérique du sud et sont répandus de la Colombie jusqu’en Argentine. Ils n’aménagent pas de propre construction, mais se créent des chemins et des cavernes dans la végétation dense. Pour absorber de la nourriture, ils choisissent de préférence des zones pourvues de pousses de faible croissance. Ils y trouvent avant tout des herbes contenant de nombreux nutriments importants.

Biologie alimentaire

Les cochons d’Inde ont des besoins nutritionnels et physiologiques qui leur sont tout à fait propres.

Le système digestif notamment est important pour une vie saine et pleine de vitalité.

Dents

La mâchoire supérieure et la mâchoire inférieure comportent respectivement deux incisives qui, comme les molaires, poussent en continu pendant toute la vie des cochons d’Inde. Ce que cela signifie :

a) la position des dents doit être correcte afin de permettre l’usure des dents et il ne faut pas laisser pousser les dents de manière incontrôlée

b) le choix des aliments est un facteur très important pour l’usure optimale des incisives et des molaires. Une grosse structure des fibres est indispensable!

Estomac

L’estomac est gavé en permanence. Il n’est que peu musclé et ne peut pas transporter de manière autonome la bouillie d'aliments vers les sections suivantes de l’intestin. Les portions d’aliments qui suivent se chargent de pousser les précédentes. Dans le cas d’un apport optimal en nutriments, les aliments conformes aux besoins de l'espèce doivent être adaptés au besoin en énergie des cochons d’Inde adultes et aux besoins des jeunes animaux en pleine croissance.

Intestin

Le gros intestin est ce qu’on appelle la chambre de fermentation. Des particules fines de cellulose brute, transformées par des bactéries spéciales en protéines, en vitamines du complexe B et en vitamine K, y parviennent. De l’intestin sortent des excrétions, que le cochons d’Inde mange à nouveau.

Vitamine C

Les cochons d’Inde eux-mêmes ne peuvent pas fabriquer de vitamine C propre à leur corps. En cas d'apport dans l’eau potable, la vitamine C se décompose rapidement à la lumière et en présence d’oxygène. Ainsi, il est vital d’administrer de la vitamine C stabilisée par l’intermédiaire des aliments. Le besoin quotidien d’un cochon d’Inde adulte est d’environ 10 mg par kilo (poids corporel).

Besoin en calcium

Le calcium est une substance minérale importante. Le calcium contenu dans le corps se trouve principalement dans les os et les dents. L’apport en calcium avec de la nourriture est ainsi particulièrement important pour le maintien en bonne santé des animaux.

Une teneur élevée en calcium chez les cochons d’Inde adultes peut toutefois entraîner du sable urinaire ou même des calculs vésicaux. Malheureusement, entretemps, c’est devenu un phénomène qui n’est pas rare. Il est donc important de choisir les composants alimentaires corrects.

Teneurs en calcium optimales dans l’alimentation de base

Jeunes animaux : 0,9%*

Animaux adultes : 0,6%

*Par rapport aux cochons d’Inde adultes, les jeunes animaux ont besoin d’une teneur supérieure en calcium, car leur croissance n’est pas encore achevée.

Importance du rapport cellulose brute/amidon

Cellulose brute :

La cellulose brute est particulièrement importante pour la santé. Elle stimule la digestion, l’intestin et, grâce à sa grosse structure, également l’usure des dents.

Amidon

L’amidon est principalement un fournisseur d’énergie et doit être présent seulement en quantité limitée dans les aliments.

Une modification du rapport cellulose brute-amidon peut conduire dans la durée à des dégradations de la santé :

Trop peu de cellulose bruteentraîne la constipation, la modification de la flore intestinale et le dysfonctionnement de l’intestin.

Trop d’amidon entraîne la diète, des modifications de la flore intestinale, la production de gaz, la diarrhée, la fermentation, l’adiposité.

Si l’on considère ces arguments, la recommandation des vétérinaires de respecter le rapport cellulose brute-amidon de 3:1 comme valeur minimale devient claire.

Comment puis-je connaître vraiment la teneur en amidon des aliments ?

La composition vous y aide grandement : les grains de céréales entiers (avec l’amande farineuse contenant de l’amidon), les fèves, les pommes de terre ou les petits pois indiquent qu’il faut s’attendre à une teneur élevée en amidon.

Maintien et environnement

Les cochons d’Inde ne veulent en aucun cas être gardés seuls. Il est recommandé de maintenir un couple avec un mâle castré et une à trois femelles. Le maintien de mâles non castrés peut entraîner des morsures quand les animaux atteignent la maturité sexuelle. Il n’est pas recommandé de maintenir les cochons d’Inde avec des lapins et d’autres rongeurs, car leurs modes de communication diffèrent, ce qui peut entraîner des conflits.

Emplacement de la cage

Nous recommandons de choisir un emplacement non exposé aux courants d’air ni aux rayons directs du soleil. La température ambiante optimale se situe entre 18 et 22°C. Dans le meilleur des cas, la cage doit être surélevée. Les animaux ont alors une meilleure vue et n’ont pas le sentiment d’être des proies.

Taille de la cage

Nous nous recommandons une cage mesurant au moins 120 x 60 x 50cm (l x p x h) pour le maintien de deux cochons d’Inde. En plus, offrir de l’exercice quotidien sous surveillance, afin que les modes de comportement naturels puissent s’épanouir.

Équipement de la cage

L’équipement adapté stimule le bien-être. Pour chaque animal, elle doit inclure une maisonnette, une couchette surélevée et un râtelier à foin pouvant être refermé par un couvercle. Les aliments doivent être proposés dans des écuelles stables en glaise ou en céramique et l’eau dans un biberon ou dans une coupe. L’avantage d’une coupe est qu’elle permet de boire davantage et encourage le comportement naturel.

Litière

La litière optimale est absorbante et lie les odeurs et l’ammoniac. Les types de litières à base de lin ou de paille comme, par exemple, cosy bedding ou Bed O´Linum conviennent bien.

Maintien en plein air

Le maintien en plein air est possible pendant toute l’année. Ce faisant, il faut veiller à protéger les animaux contre les courants d’air, la pluie, l’ensoleillement direct, les prédateurs et l’enfouissement. Une maisonnette supplémentaire à l’abri du gel ou un refuge est volontiers utilisé(e).

Indications sur les maladies

À quoi puis-je vraiment reconnaître que mon animal est malade et qu’il ne se sent pas bien ?

Il est important d’observer l’animal chaque jour. Seule une personne le connaissant bien remarque, par exemple, qu’il se comporte différemment, qu’il se détourne ou se sépare du groupe ou de son détenteur et quand il boit moins et s’alimente moins. Une perte de poids et une modification du comportement quand il excrète ou urine peuvent être aussi des signes précurseurs d’une maladie. De plus, le comportement de toilette et d’entretien est souvent réduit chez les animaux malades, ce qui rend le poil hirsute. Les signes précurseurs de douleurs sont par exemple un dos courbé, une position ramassée, le poil hérissé, des yeux à moitié fermés et un grincement des dents. Il faut absolument consulter un vétérinaire si l’une de ces anomalies est constatée.

Chinchillas

Chinchillas

Les chinchillas sont des petits mammifères phyllophages/herbivores et appartiennent à l’ordre des rongeurs. Très sociaux et actifs surtout au crépuscule et pendant la nuit, ils vivent dans la nature en familles composées d’un couple et de leur progéniture femelle. Ils ne doivent pas être maintenus seuls, même en tant qu’animaux de compagnie. Ils se sentent bien en couple ou en groupe (un mâle castré et une ou plusieurs femelles). Un chinchilla peut vivre jusqu’à 20 ans et atteint une longueur d’env. 26 cm et un poids de 400 à 600 g.
Habitat naturel

Les chinchillas sont originaires d’Amérique du sud et, là-bas, ils habitent sur les versants rocheux des montagnes dans les zones côtières. Leur peuplement est très menacé et, actuellement, il ne reste plus que deux petites populations dans la région du centre nord du Chili.

La végétation varie dans leur pays d’origine et présente souvent aussi des caractéristiques similaires à celles du désert. Les chinchillas préfèrent surtout les versants secs et peu recouverts avec une végétation aérée de cactus, de bromélies et de petits buissons. Ils aménagent leur construction dans les crevasses.

Les chinchillas se nourrissent de végétaux et sont en mesure de les assimiler de manière optimale.

Biologie alimentaire

Les chinchillas ont des besoins nutritionnels et physiologiques qui leur sont tout à fait propres.

Le système digestif notamment est important pour une vie saine et pleine de vitalité.

Dents

La mâchoire supérieure et la mâchoire inférieure comportent respectivement deux incisives qui, comme les molaires, poussent en continu pendant toute la vie des chinchillas. Une grande structure de fibres est indispensable pour l’usure des dents.

Estomac

Les chinchillas ont un estomac peu musclé et qui ne peut pas transporter de manière autonome la bouillie d'aliments vers les sections suivantes de l’intestin. Les portions d’aliments qui suivent se chargent de pousser les précédentes.

Intestin

Des particules fines de cellulose brute, que des bactéries spéciales transforment en protéines, en vitamines du complexe B et en vitamine K, parviennent dans l’intestin volumineux. C’est pourquoi on désigne aussi le gros intestin comme la chambre de fermentation. Les chinchillas absorbent à nouveau les excréments formés par l’intestin

Importance du rapport cellulose brute-amidon
trop peu de cellulose brute

entraîne la constipation, la modification de la flore intestinale et le dysfonctionnement de l’intestin.

trop d’amidon

entraîne la diète, des modifications de la flore intestinale, la production de gaz, la diarrhée, la fermentation, l’adiposité.

La cellulose brute est particulièrement importante pour la santé des chinchillas : pour la digestion, l’intestin et la grosse structure pour l’usure des dents. L’amidon procure principalement de l’énergie et doit être présent en quantité limitée dans l’alimentation.

C’est pour cette raison que les vétérinaires recommandent un rapport cellulose brute-amidon de 3:1 comme valeur minimale.

Comment puis-je connaître vraiment la teneur en amidon des aliments ?

La composition vous y aide grandement : les grains de céréales entiers (avec l’amande farineuse contenant de l’amidon), les fèves, les pommes de terre ou les petits pois indiquent qu’il faut s’attendre à une teneur élevée en amidon.

Maintien et environnement

Pour les chinchillas, il est recommandé de maintenir un mâle castré et une femelle. Lors du maintien de groupes de même sexe, des morsures peuvent survenir quand les animaux atteignent la maturité sexuelle. De même, les chinchillas ne doivent pas être maintenus avec des cochons d’Inde ou d’autres rongeurs.

Emplacement de la cage

Lors du choix de l’emplacement, il faut veiller à ce que la volière ne soit exposée ni aux courants d’air, ni aux rayons directs du soleil. La température ambiante optimale se situe entre 15 et 18°C et ne doit pas dépasser 25°C dans la durée.

Taille de la cage

Nous recommandons une volière mesurant au moins 100 x 50 x 100 cm (l x p x h). Une grande volière structurée permet aux chinchillas de bouger intensivement. Il est important toutefois de les faire se déplacer en liberté chaque jour. C’est seulement ainsi qu’ils peuvent laisser cours à des modes de comportement naturels comme l’exploration, le jeu et les sauts. Ne pas laisser les chinchillas se déplacer en liberté sans surveillance.

Équipement de la cage

Les chinchillas grimpent très volontiers et se tiennent de préférence à des hauteurs différentes. Il est donc judicieux de placer plusieurs plateformes à des hauteurs différentes. Pour mettre à disposition davantage de possibilités d’escalade, il est possible aussi d’installer des branches à cet effet. Il ne faut pas oublier de placer une maisonnette d’env. 30 x 30 x 20 cm par animal. Les aliments doivent être proposés dans des écuelles stables en glaise ou en céramique et l’eau, au mieux, dans un biberon. Offrir chaque jour suffisamment de foin de bonne qualité dans un râtelier à foin pouvant être refermé par un couvercle.

En outre, un équipent encore important : le bain de sable ! Les chinchillas ont un pelage fin et dense. Les poils sont regroupés en touffes de poils. Un bain de sable avec du sable spécial pour chinchillas est nécessaire pour un soin correct du pelage. En outre, un bain de sable sert aussi à réduire le stress.

Litière

Nous recommandons une litière absorbante qui, de plus, lie les odeurs et l’ammoniac. On peut utiliser de la litière à base de lin ou de paille comme, par exemple, cosy bedding ou Bed O´Linum.

Maintien en plein air

Le maintien en plein air est possible seulement dans certaines conditions pendant les mois d’été. Les chinchillas supportent mal les hautes températures et l’humidité. En cas de maintien en plein air en été, il faut veiller à ne pas exposer les animaux à la pluie ni aux rayons directs du soleil. De même, il est important de les protéger contre les prédateurs.

Indications sur les maladies

À quoi puis-je vraiment reconnaître que mon animal est malade et qu’il ne se sent pas bien ?

Il est important d’observer l’animal chaque jour. Seule une personne le connaissant bien remarque, par exemple, qu’il se comporte différemment, qu’il se détourne ou se sépare du groupe ou de son détenteur et quand il boit moins et s’alimente moins. Une perte de poids et une modification du comportement quand il excrète ou urine peuvent être aussi des signes précurseurs d’une maladie. De plus, le comportement de toilette et d’entretien est souvent réduit chez les animaux malades, ce qui rend le poil hirsute. Les signes précurseurs de douleurs sont par exemple un dos courbé, une position ramassée, le poil hérissé, des yeux à moitié fermés et un grincement des dents. Il faut absolument consulter un vétérinaire si l’une de ces anomalies est constatée.

Dégus

Dégus

Le dégus appartient à l’ordre des rongeurs et est un petit mammifère phyllophage/herbivore (mange des végétaux) Très social et actif pendant la journée, il vit au sein de grandes colonies de différents groupes de familles composés d’environ 10 animaux. Lors du maintien comme animal de compagnie, le dégus souhaite également avoir un partenaire à ses côtés. Son espérance de vie est d’environ 5 à 7 ans, mais il peut aussi dépasser cet âge. Son corps mesure de 12,5 à 19,5 cm et atteint un poids d’environ 170 à 350 g.
Habitat naturel

Les dégus sont les rongeurs les plus courants au Chili. Là-bas, ils habitent surtout les régions du centre et du nord couvertes de petits buissons et offrant de bonnes possibilités de cachette dans les graminées et les herbes denses. De même, ils séjournent volontiers dans des zones caillouteuses avec de la terre meuble. Ils y aménagent des constructions amplement ramifiées. On les rencontre souvent aussi dans les champs, les jardins et les parcs. Les dégus se nourrissent avant tout de végétaux.

Biologie alimentaire

Les dégus ont leurs propres besoins nutritionnels et physiologiques.

Dents
Dents

La mâchoire supérieure et la mâchoire inférieure comportent respectivement deux incisives qui, comme les molaires, poussent en continu pendant toute la vie des dégus. Une grande structure de fibres dans la nourriture est ainsi absolument indispensable pour la santé des dents.

Estomac
Estomac

L’estomac est gavé en permanence. L’estomac n’est que très peu musclé et ne peut pas transporter de manière autonome la bouillie d’aliments vers les sections suivantes de l’intestin. Ce travail est effectué pour ainsi dire par les rations d’aliments qui suivent.

Intestin
Intestin

L'intestin est appelé aussi la chambre de fermentation. Les particules fines de cellulose brute, que des bactéries spéciales transforment en protéines, en vitamines du complexe B et en vitamine K, y parviennent. De l’intestin sortent des excrétions qui sont absorbées à nouveau.

Tendance au diabète sucré.

Pour prévenir le diabète, ne jamais donner des fruits frais ni d’autres composants riches en sucre et en amidon. Ceci est important également dans le choix des aliments.

Maintien et environnement

Les dégus ne vivent pas volontiers seuls. Le maintien en communauté de plusieurs femelles ou d’un mâle castré et plusieurs femelle est l’optimal. Ils s’apprivoisent bien et facilement, si l'on s’occupe d’eux intensivement.

Emplacement de la cage

L’emplacement de la cage doit être à l’abri des courants d’air. Les dégus aimant prendre des bains de soleil, l'ensoleillement direct dans la matinée et dans la soirée leur est très agréable. Cependant, ils doivent toujours avoir suffisamment d’ombre et la température ambiante ne doit pas dépasser 32°C. Le mieux est de surélever la cage, afin qu’ils n’aient pas le sentiment d’être des proies.

Taille de la cage

Il est recommandé d’utiliser une cage mesurant au moins 100 x 50 x 100 cm (l x p x h) pour le maintien de jusqu’à 4 dégus de même sexe. Une grande cage structurée permet aux dégus de bouger intensivement, des déplacements en liberté stimulent les modes de comportement naturels comme l’exploration et le jeu.

Équipement de la cage

Les animaux éveillés ont besoin d’occupation et de mouvement. On ne peut les leur offrir qu’en équipant correctement la cage. Chaque cage doit comporter plusieurs maisonnettes, des assises à différentes hauteurs, des tubes en glaise et en liège et des branches pour grimper. Pour pouvoir satisfaire leur besoin de mouvement, les dégus se réjouissent aussi d’une roue avec une bande de roulement fermée et un diamètre minimum de 30 cm. Un bain de sable avec du sable pour chinchillas destiné au nettoyage du pelage ne doit pas manquer non plus. De plus, il est recommandé de mettre à disposition des aliments dans des écuelles stables en glaise ou en céramique et de l’eau dans des biberons. Offrir chaque jour suffisamment de foin de bonne qualité dans un râtelier à foin pouvant être refermé par un couvercle.

Litière

La litière doit être absorbante et liante. Une grande profondeur de litière permet la construction de couloirs. Il est important de changer régulièrement la litière (le mieux est de nettoyer les coins d’urine chaque jour). Les types de litières à base de lin ou de paille comme, par exemple, cosy bedding ou Bed O´Linum conviennent bien.

Maintien en plein air

Le maintien en plein air n’est pas possible.

Indications sur les maladies

À quoi puis-je vraiment reconnaître que mon animal est malade et qu’il ne se sent pas bien ?

Il est important d’observer l’animal chaque jour. Seule une personne le connaissant bien remarque, par exemple, qu’il se comporte différemment, qu’il se détourne ou se sépare du groupe ou de son détenteur et quand il boit moins et s’alimente moins. Une perte de poids et une modification du comportement quand il excrète ou urine peuvent être aussi des signes précurseurs d’une maladie. De plus, le comportement de toilette et d’entretien est souvent réduit chez les animaux malades, ce qui rend le poil hirsute. Les signes précurseurs de douleurs sont par exemple un dos courbé, une position ramassée, le poil hérissé, des yeux à moitié fermés et un grincement des dents. Il faut absolument consulter un vétérinaire si l’une de ces anomalies est constatée.

Hamster

Hamster

Le hamster est un petit mammifère granivore (se nourrit de graines), qui appartient à l’ordre des rongeurs. Dans la nature, il est solitaire. Il ne cherche les contacts sociaux que pour la reproduction et pendant l’élevage des jeunes. Il doit être maintenu seul, même en tant qu’animal familier. L'espérance de vie du hamster est de 2 à 3 ans. Il atteint une longueur d’env. 18 cm et un poids d’env. 180 g.
Habitat naturel

Le hamster est originaire de Syrie et du sud de la Turquie. Il y vit la plupart du temps dans des constructions souterraines qu’il préfère réalisées dans des sols argileux et sablonneux. Dans son environnement naturel, il est actif pendant la journée tandis qu’il devient actif plutôt la nuit quand il est maintenu comme animal de compagnie.

Biologie alimentaire

Petit, mais costaud. Les besoins nutritionnels et physiologiques du hamster agile sont très variés.

Incisives
Incisives

Les hamsters ont des incisives qui repoussent en permanence. C'est pourquoi les aliments doivent offrir «une chose convenable à mordre» (par ex. avec différentes semences pouvant être décortiquées)

Estomac
Estomac

L’estomac est divisé en deux parties et est composé du pré-estomac et de l’estomac glandulaire.

Petit intestin
Petit intestin

Le hamster «granivore» (se nourrit de graines) a un petit intestin. Il ne peut assimiler la cellulose brute que de manière limitée. La part de cellulose brute optimale dans les aliments est donc inférieure à 10%.

Protéine animale

Des protéines animales sont requises pour le métabolisme. Il faut adapter avec soin la quantité aux besoins des animaux.

Besoin élevé en énergie

Les hamsters sont de vrais réservoirs d’énergie. Ils bougent volontiers et ont un besoin élevé en énergie en raison de leur métabolisme élevé.

Maintien et environnement

Le hamster est un solitaire et il ne peut pas être maintenu avec des congénères. Il n’est donc pas possible de le maintenir en groupe.

Emplacement de la cage

La cage ne doit être exposée ni aux courants d’air ni à l’ensoleillement direct. De plus, le hamster dort pendant la journée et se réjouit d’avoir un endroit où il n’est pas dérangé. La température ambiante optimale se situe entre 20 et 24°C. Si la température tombe à long terme en-dessous de 15°C, les hamsters peuvent tomber en repos hivernal.

Taille de la cage

Nous recommandons une cage mesurant au moins 100 x 50 x 50 cm. Une grande cage structurée permet au hamster de bouger plus intensivement.

Équipement de la cage

Un bon équipement de la cage satisfait aux besoins de tout point de vue. Une maisonnette mesurant au moins 15 x 15 x 10 cm, où il puisse dormir, ne doit manquer en aucun cas. Le hamster préparant volontiers des réserves de nourriture, il est recommandé d’installer une maisonnette supplémentaire pour les réserves. Du foin et de la cellulose peuvent servir pour le nid. Indigeste, le coton spécial hamster n’est pas recommandé. Il peut entraîner l’obstruction des abajoues ou ceinturer les membres. En outre, chaque cage à hamster doit comprendre un bain de sable qui peut être utilisé pour le soin du pelage et la réduction du stress. L’installation d’une roue fermée d’un côté offre la possibilité de satisfaire l’envie de bouger. Elle doit être suffisamment grande pour que le hamster puisse y courir en gardant le dos droit (env. 30 cm). Les aliments doivent être proposés dans des écuelles stables en glaise ou en céramique et l’eau dans un biberon ou dans une coupe qui sera de préférence surélevé(e). Offrir chaque jour suffisamment de foin de bonne qualité dans un râtelier à foin pouvant être refermé par un couvercle. Des branches d’arbres fruitiers ou de feuillus peuvent être installées dans la cage pour occuper le hamster. N’utilisez en aucun cas des jouets contraires à la protection des animaux, comme par exemple les balles d’exercice pour hamster!

Litière

Nous recommandons d’utiliser en tout cas une litière qui soit absorbante et lie les odeurs. Les types de litières à partir de lin ou de paille comme, par exemple, cosy bedding ou bed O´Linum conviennent particulièrement bien. Une hauteur de litière adaptée au comportement naturel offre la possibilité de creuser. Pour garantir une bonne hygiène dans la cage, le coin de la toilette et le garde-manger doivent être nettoyés régulièrement.

Maintien en plein air

Un maintien en plein air n’est pas possible.

Indications sur les maladies

À quoi puis-je vraiment reconnaître que mon animal est malade et qu’il ne se sent pas bien ?

Il est important d’observer l’animal chaque jour. Seule une personne le connaissant bien remarque, par exemple, qu’il se comporte différemment, qu’il se détourne ou se sépare du groupe ou de son détenteur et quand il mange moins et boit moins. Une perte de poids et une modification du comportement quand il excrète ou urine peuvent être aussi des signes précurseurs d’une maladie. De plus, le comportement de toilette et d’entretien est souvent réduit chez les animaux malades, ce qui rend le poil hirsute. Les signes précurseurs de douleurs sont par exemple un dos courbé, une position ramassée, le poil hérissé, des yeux à moitié fermés et un grincement des dents. Il faut absolument consulter un vétérinaire si l’une de ces anomalies est constatée.

Hamster nain

Hamster nain

Le hamster nain est un petit mammifère granivore (se nourrit de graines), qui appartient à l’ordre des rongeurs. Dans la nature, il vit en solitaire et atteint environ l’âge de 2 à 2,5 ans. Avec une longueur de 11 cm et un poids d’env. 45 g, il est nettement plus petit que le hamster doré.
Habitat naturel

Le hamster doré est originaire du sud de la Russie, de la Mongolie et du nord de la Chine. Il vit là-bas dans des régions steppiques sèches ou semi-désertiques et est actif au crépuscule et dans la nuit.

Biologie alimentaire

Les besoins nutritionnels et physiologiques des hamsters nains agiles sont très variés. Dans la nature, ils se nourrissent principalement de différentes semences et d’insectes.

Incisives
Incisives

Les hamsters nains ont des incisives qui repoussent en permanence. C’est pourquoi les aliments doivent toujours procurer l’usure nécessaire (par exemple par des semences qui peuvent être décortiquées).

Estomac
Estomac

L’estomac est divisé en deux parties avec le pré-estomac et de l’estomac glandulaire.

Petit intestin
Petit intestin

En tant qu’animal «granivore» (se nourrissant de graines), le hamster nain a un petit intestin. Il ne peut assimiler la cellulose brute que de manière limitée. La part optimale de cellulose brute dans les aliments est inférieure à 10%.

Protéine animale

Des protéines animales sont requises pour le métabolisme. La quantité doit être adaptée avec soin aux besoins des animaux.

Besoin élevé en énergie

Les hamsters nains sont de vrais réservoirs d’énergie. En raison de leur métabolisme élevé, ils ont un besoin élevé en énergie.

Tendance au diabète sucré

Pour prévenir le diabète, les aliments ne doivent contenir aucun fruit ou aucun autre composant riche en sucre et il ne faut pas donner de fruit frais non plus.

Maintien et environnement

Le hamster nain est un solitaire. Dans la nature, il vit seul, excepté pendant la période de reproduction. C’est pourquoi le maintien en groupe n’est pas recommandé, même comme animaux de compagnie, et il doit rester réservé aux éleveurs expérimentés.

Emplacement de la cage

Le mieux est de placer la cage dans un endroit à l’abri des courants d’air, protégé du soleil, et calme, car le hamster nain dort pendant la journée. La température ambiante optimale se situe entre 20 et 24°C.

Taille de la cage

Nous recommandons d’utiliser une cage mesurant au moins 100 x 50 x 50 cm (l x p x h), afin que le hamster nain ait suffisamment d’espace pour bouger intensivement.

Équipement de la cage

Le petit hamster nain est un animal très éveillé et aimant bouger. L’équipement de la cage doit être adapté à ces caractéristiques. Une maisonnette où dormir et mesurant au moins 15 x 15 x 10 cm ne doit pas manquer. Des réserves peuvent être placées dans un garde-manger supplémentaire. Du foin et de la cellulose peuvent servir pour le nid. Indigeste, le coton spécial hamster n’est pas recommandé. Celui-ci peut entraîner une obstruction des abajoues ou ceinturer les membres. En outre, chaque cage doit comporter un bain de sable qui sert au soin du pelage. L’installation d’une roue fermée d’un côté avec un diamètre d’au moins 25 cm offre la possibilité de satisfaire à l’envie de bouger. Les aliments doivent être proposés dans des écuelles stables en glaise ou en céramique et l’eau dans un biberon. Une coupe d’eau placée de préférence à un niveau surélevé est possible aussi. Offrir chaque jour suffisamment de foin de bonne qualité dans un râtelier à foin pouvant être refermé par un couvercle. Des branches d’arbres fruitiers ou de feuillus installées dans la cage offrent une possibilité d’occupation. N’utiliser aucun jouet contraire à la protection des animaux, comme par exemple les balles d’exercice pour hamster!

Litière

Le mieux est d’utiliser une litière liant les odeurs et absorbante. Une litière à partir de lin ou de paille comme, par exemple, cosy bedding ou Bed O`Linum convient bien. En mettant de la litière sur plus de hauteur, on permet de creuser et de construire des couloirs.

Maintien en plein air

Un maintien en plein air n’est pas possible.

Indications sur les maladies

À quoi puis-je vraiment reconnaître que mon animal est malade et qu’il ne se sent pas bien ?

Il est important d’observer l’animal chaque jour. Seule une personne le connaissant bien remarque, par exemple, qu’il se comporte différemment, qu’il se détourne ou se sépare du groupe ou de son détenteur et quand il mange moins et boit moins. Une perte de poids et une modification du comportement quand il excrète ou urine peuvent être aussi des signes précurseurs d’une maladie. De plus, le comportement de toilette et d’entretien est souvent réduit chez les animaux malades, ce qui rend le poil hirsute. Les signes précurseurs de douleurs sont par exemple un dos courbé, une position ramassée, le poil hérissé, des yeux à moitié fermés et un grincement des dents. Il faut absolument consulter un vétérinaire si l’une de ces anomalies est constatée.

Rat

Rat

Le rat est un petit mammifère omnivore. Cela signifie qu’il mange de tout et se nourrit d’un grand nombre de denrées alimentaires. Il appartient à l’ordre des rongeurs et est très sociable. Dans la nature, il vit souvent en groupes comptant jusqu’à 100 animaux. Son espérance de vie est d’environ 4 ans. Il atteint une longueur de 28 cm et un poids de 270 à 400 g.
Habitat naturel

Le rat domestique d’aujourd’hui descend du rat brun. Celui-ci vivait à l’origine sur le continent au sud-ouest de la Sibérie, en Mongolie et au nord-est de la Chine. Aujourd’hui, on trouve le rat pratiquement partout dans le monde, et dans les régions tropicales et subtropicales, il ne vit que dans des villes. En Europe et en Amérique du nord, il séjourne souvent à proximité des gens et des bâtiments et se sent particulièrement bien dans les cloisons ou les vieux tubes d’écoulement. De plus, on trouve fréquemment les rats en liberté au bord des cours d’eau.

Biologie alimentaire

Le rat a des besoins nutritionnels et physiologiques qui lui sont tout à fait propres.

Incisives
Incisives

Elles repoussent en permanence, de sorte que les aliments doivent veiller à l'usure nécessaire. Il faut faire attention à la dureté, à la taille et au type des particules alimentaires.

Estomac
Estomac

L’estomac a une cavité et est séparé par un repli de la muqueuse en une partie sans glande et une partie avec une glande.

Petit intestin
Petit intestin

Les rats ont un petit intestin. De ce fait, ils ne peuvent assimiler la cellulose brute que de manière limitée. La part de cellulose brute optimale dans les aliments est inférieure à 10%.

Besoin en protéine animale

Les animaux omnivores (mangeant de tout) requièrent des protéines animales. Les acides aminés précieux contenus sont importants pour le renouvellement des cellules et divers processus du métabolisme.

Besoin élevé en énergie

Les bolides ont un métabolisme plus élevé et ainsi un besoin particulier en énergie.

Maintien et environnement

Les rats sont des animaux intelligents et curieux qui s’apprivoisent rapidement quand on s’occupe d’eux intensivement. Le détenteur peut construire un lien étroit avec eux par un contact quotidien. Le maintien en groupe de 3 à 4 animaux est recommandé. Les groupes de même sexe s’entendent bien, si les animaux sont maintenus ensemble depuis la naissance.

Emplacement de la cage

Au mieux, la cage ne doit être exposée à aucun rayon direct du soleil. Les rats ont peu de glandes sudoripares et ne supportent donc aucune température élevée. La température ambiante optimale se situe entre 18 et 26°C. Chez les rats albinos, une haute intensité lumineuse peut conduire à une nécrose rétinienne et ainsi à l’aveuglement des rats. Eviter les intensités lumineuses supérieures à 60 lux dans la durée.

Taille de la cag

Nous recommandons une cage mesurant au moins 100 x 50 x 100 cm ou 70 x 50 x 120 cm (l x p x h) pour 2 à 3 rats. Il faut veiller à suffisamment de place pour explorer et jouer. Il est souhaitable de procurer de l’exercice quotidien.

Équipement de la cage

Une cage structurée offre aux animaux entreprenants de nombreuses possibilités d’occasion. Il ne faut pas manquer d’installer plusieurs maisonnettes. Du foin et de la cellulose peuvent servir pour le nid. Des branches pour grimper, des tubes en glaise et en liège et des hamacs sont des matériaux de jeu intéressants. De plus, il est recommandé d’installer des couchettes à différentes hauteurs. Les aliments doivent être mis à disposition dans des écuelles stables en glaise ou en céramique et l’eau dans des biberons. Offrir chaque jour suffisamment de foin de bonne qualité dans un râtelier à foin pouvant être recouvert par un couvercle.

Litière

La litière optimale est absorbante et lie les odeurs. Une litière à partir de lin ou de paille comme, par exemple, cosy bedding ou Bed O`Linum convient particulièrement bien. Pour garder la cage hygiéniquement propre et éviter l’irritation des voies respiratoires sensibles, la litière doit être changée régulièrement (le coin toilette même chaque jour).

Maintien en plein air

Un maintien en plein air n’est pas possible.

Indications sur les maladies

À quoi puis-je vraiment reconnaître que mon animal est malade et qu’il ne se sent pas bien ?

Il est important d’observer l’animal chaque jour. Seule une personne le connaissant bien remarque, par exemple, qu’il se comporte différemment, qu’il se détourne ou se sépare du groupe ou de son détenteur et quand il mange moins et boit moins. Une perte de poids et une modification du comportement quand il excrète ou urine peuvent être aussi des signes précurseurs d’une maladie. De plus, le comportement de toilette et d’entretien est souvent réduit chez les animaux malades, ce qui rend le poil hirsute et les yeux et le nez sont collés. Les signes précurseurs de douleurs sont par exemple un dos courbé, une position ramassée, le poil hérissé, des yeux à moitié fermés et un grincement des dents. Il faut absolument consulter un vétérinaire si l’une de ces anomalies est constatée.

Gerbille

Gerbille

La gerbille est un petit mammifère granivore (se nourrit de graines), qui appartient à l’ordre des rongeurs. Elle est très sociable et, dans la nature, elle vit en familles. Ils ne doivent pas être maintenus seuls, même en tant qu’animaux de compagnie. La gerbille est active pendant la journée et la nuit et a une espérance de vie de 3 à 4 ans. Elle atteint une longueur de 10 à 12 cm et un poids d’environ 70 à 130 g.
Habitat naturel

La gerbille de Mongolie vit dans les steppes, les semi-déserts et les déserts dans le sud-est de la Mongolie et dans la Russie avoisinante et en Chine. Elle séjourne volontiers dans les champs et les pâturages. Elle y creuse des constructions souterraines et aménage des nids et des garde-manger.

Biologie alimentaire

Les gerbilles ont des besoins nutritionnels et physiologiques qui leur sont tout à fait propres.

Incisives

Elles repoussent en permanence, de sorte que les aliments doivent veiller à l'usure nécessaire. Il faut faire attention à la dureté, à la taille et au type des particules alimentaires.

Estomac

L’estomac a une cavité et est séparé par un repli de la muqueuse en une partie sans glande et une partie avec une glande.

Petit intestin

Les gerbilles ont un petit intestin. C’est pourquoi elles ne peuvent assimiler la cellulose brute que de manière limitée. La part de cellulose brute optimale dans les aliments est donc inférieure à 10%.

Particularité de la gerbille

Elle tend à avoir une teneur élevée en lipides sanguins et de l’adiposité. Il est donc important que les aliments contiennent une part élevée de semences farineuses. L'aliment complet ne doit pas contenir de noix.

Besoin en protéine animale

Les animaux granivores (se nourrissant de graines) requièrent des protéines animales. Les acides aminés précieux contenus sont importants pour le renouvellement des cellules et divers processus du métabolisme.

Besoin élevé en énergie

Les bolides agiles ont un métabolisme plus élevé et ainsi un besoin particulier en énergie.

Maintien et environnement

Le meilleur maintien des gerbilles du désert est en couple avec un homme castré, mais il est possible aussi de bien maintenir deux femelles ensemble. Pour ce faire, il est important de bien observer le comportement des animaux, car des agressions et des conflits inattendus peuvent survenir également dans des groupes harmonieux.

Emplacement de la cage

La cage doit être placée dans un endroit lumineux et à l’abri des courants d’air. Les gerbilles prenant volontiers des bains de soleil, le soleil peut briller un peu dans la cage dans la matinée et dans la soirée. Il faut veiller à laisser la possibilité de trouver de l’ombre à tout moment. En surélevant la cage, la gerbille ne peut pas avoir le sentiment d’être une proie.

Taille de la cage

Nous recommandons une cage composée d’un bac mesurant au moins 100 x 50 x 50 cm (l x p x h) et d’une grille d’une hauteur minimale de 30 cm. Une grande cage structurée offre la possibilité de satisfaire à l’envie de bouger. De plus, il est possible de permettre aux animaux apprivoisés de bouger en liberté sous surveillance.

Équipement de la cage

Les gerbilles du désert sont des animaux très actifs. Elles adorent creuser, jouer et explorer. Un équipement de la cage conforme aux besoins de l'espèce ne laisse pas de place à l’ennui. Une maisonnette mesurant 15 x 20 x 15 cm (l x p x h) est optimale. Du foin et de la cellulose peuvent servir pour le nid. Des tubes en glaise ou en liège conviennent comme système de tunnels et il ne faut pas oublier un bain de sable. Les animaux utilisent ce dernier pour nettoyer leur pelage et transférer l’odeur de la famille. On peut installer aussi une roue fermée avec un diamètre d’au moins 25 cm. Les aliments doivent être proposés au mieux dans des coupes en glaise ou en céramique et l’eau dans un biberon ou dans une coupe. Le tout doit être surélevé pour éviter un enfouissement.

Litière

La litière de la cage doit être absorbante et lier les odeurs. La litière en lin ou en paille comme, par exemple, cosy bedding et Bed O´Linum conviennent particulièrement bien. Une haute couche de litière permet l’aménagement de systèmes de tunnels et prévient les troubles du comportement. En cas de changement régulier de litière, il faut veiller à toujours laisser une partie de l’ancienne litière pour ne pas enlever les odeurs et les marquages du territoire. Le mieux est de nettoyer les coins toilette chaque jour.

Maintien en plein air

Un maintien en plein air n’est pas possible.

Indications sur les maladies

À quoi puis-je vraiment reconnaître que mon animal est malade et qu’il ne se sent pas bien ?

Il est important d’observer l’animal chaque jour. Seule une personne connaissant bien son animal remarque, par exemple, qu’il se comporte différemment, qu’il se détourne ou se sépare du groupe ou de son détenteur et quand il mange moins et boit moins. Une perte de poids et une modification du comportement quand il excrète ou urine peuvent être aussi des signes précurseurs d’une maladie. De plus, le comportement de toilette et d’entretien est souvent réduit chez les animaux malades, ce qui rend le poil hirsute et une croûte rouge se forme sur le nez. Les signes précurseurs de douleurs sont par exemple un dos courbé, une position ramassée, le poil hérissé, des yeux à moitié fermés et un grincement des dents. Il faut absolument consulter un vétérinaire si l’une de ces anomalies est constatée.

Souris de couleur

Souris de couleur

La souris de couleur est un petit mammifère granivore (se nourrit de graines), qui appartient à l’ordre des rongeurs. Elle est active principalement pendant la nuit (mais peut s’adapter), très sociable et vit en groupes composés de membres apparentés entre eux. La souris de couleur a une espérance de vie de 2 à 3 ans, sa longueur atteint 6,5 à 9,5 cm et son poids atteint 20 à 40 g.
Habitat naturel

La souris de couleur est originaire du centre-ouest de l’Asie et du nord de l’Inde. Là-bas, elle habite les déserts steppiques et les semi-déserts et aménage ses nids dans des constructions qu’elle a construites elle-même ou dans des fentes entre les pierres. Aujourd’hui, on la trouve partout dans le monde et elle se nourrit volontiers des types de céréales cultivées dans l’agriculture.

Biologie alimentaire

Comme tous les petits mammifères, la souris de couleur a des besoins nutritionnels et physiologiques qui lui sont tout à fait propres.

Incisives

Elles repoussent en permanence, de sorte que les aliments doivent veiller à l'usure nécessaire. Il faut faire attention à la dureté, à la taille et au type des particules alimentaires.

Estomac

L’estomac a une cavité et est séparé par un repli de la muqueuse en une partie sans glande et une partie avec une glande.

Petit intestin

Les souris de couleur ont un petit intestin. C’est pourquoi elle ne peut assimiler la cellulose brute que de manière limitée. Les aliments optimaux contiennent donc une part de cellulose brute inférieure à 10%.

Besoin en protéine animale

Les animaux granivores (se nourrissant de graines) requièrent des protéines animales. Les acides aminés précieux contenus sont importants pour le renouvellement des cellules et divers processus du métabolisme.

Besoin élevé en énergie

Les bolides agiles ont un métabolisme plus élevé et ainsi un besoin particulier en énergie.

Maintien et environnement

Les souris de couleur vivent volontiers en groupe. Le maintien en groupe de plusieurs femelles ou d’un mâle castré et de plusieurs femelles est recommandé pour les animaux de compagnie. Les femelles sont très amicales entre elles et elles s’aident même mutuellement pour élever les jeunes.

Emplacement de la cage

La cage doit être placée à l’abri des courants d’air, protégée des rayons directs du soleil et surélevée pour éviter d’entrer en contact avec des prédateurs. Les souris de couleur apprivoisées peuvent bouger en liberté sous surveillance.

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Übersetzung fehlt

Équipement de la cage

Un équipement conforme aux besoins de l'espèce offre de nombreuses possibilités d’occupation. Chaque cage doit comporter plusieurs maisonnettes, des branches pour grimper, des tubes en glaise ou en liège et du foin et de la cellulose pour le nid. Les aliments doivent être proposés dans des écuelles stables en glaise ou en céramique et l’eau dans un biberon ou dans une coupe surélevée. En variant l’équipement régulièrement, les souris de couleur reçoivent beaucoup de distraction. Une grande cage structurée stimule le comportement conforme à l’espèce et prévient les troubles du comportement.

Litière

Une litière optimale est absorbante, lie les odeurs et l’ammoniac. La litière en lin ou en paille comme, par exemple, cosy bedding et Bed O´Linum convient particulièrement bien. Une haute couche de litière offre la possibilité de creuser et de construire des couloirs. Lors du nettoyage de la cage, toujours laisser une partie de l’ancienne litière dans la cage pour conserver les odeurs et les marquages du territoire.

Maintien en liberté

Un maintien en liberté n’est pas possible.

Indications sur les maladies

À quoi puis-je vraiment reconnaître que mon animal est malade et qu’il ne se sent pas bien ?

Il est important d’observer l’animal chaque jour. Seule une personne connaissant bien son animal remarque, par exemple, qu’il se comporte différemment, qu’il se détourne ou se sépare du groupe ou de son détenteur et quand il mange moins et boit moins. Une perte de poids et une modification du comportement quand il excrète ou urine peuvent être aussi des signes précurseurs d’une maladie. De plus, le comportement de toilette et d’entretien est souvent réduit chez les animaux malades, ce qui rend le poil hirsute et une croûte rouge se forme sur le nez. Les signes précurseurs de douleurs sont par exemple un dos courbé, une position ramassée, le poil hérissé, des yeux à moitié fermés et un grincement des dents. Il faut absolument consulter un vétérinaire si l’une de ces anomalies est constatée.

Nos thèmes de l’automne
En avant pour l’automne !
Notre thème de la saison
Été : Joies
et dangers
Nos thèmes printaniers
C’est enfin le printemps......
Notre thème de la saison

Été : Joies et dangers

C’est l’été et nos animaux domestiques peuvent enfin séjourner à nouveau toute la journée en plein air. Mais attention ! L’été n’apporte pas que des joies. La chaleur et la sécheresse s’avèrent relativement dangereuses pour lapins et compagnie. Nous allons vous expliquer ce à quoi vous devez être attentif, si l'été doit se passer le plus possible en plein air.
Protection contre les rayons directs du soleil :
Protection solaire

De nombreux animaux profitent visiblement du soleil. Il faut toutefois veiller à mettre à leur disposition suffisamment d’endroits ombragés. Pensez que le soleil se déplace pendant la journée ! Là où il y avait encore de l’ombre le matin, il peut déjà y avoir du soleil à midi. Le mieux est donc d’installer l’enclos directement à un endroit où il y aura de l’ombre pendant toute la journée.

Toujours mettre suffisamment d’eau fraîche à disposition :
Approvisionnement en eau

Il est particulièrement important de toujours mettre suffisamment d’eau fraîche à disposition. Les températures élevées augmentent le besoin en liquide. Les animaux ne doivent en aucun cas souffrir de la soif. Cela nuit à leur corps et peut entraîner une déshydratation interne, une déshydrogénation. Il faut donc renouveler l’eau potable régulièrement et plusieurs fois par jour en été.

Protection contre les prédateurs :

En été, on utilise souvent un enclos ou un enclos à l’air libre pour l'excursion dans la nature. Il faut veiller ici à ne donner aucune chance aux prédateurs, dont le chat du voisin fait partie, de pénétrer dans l’enclos. De plus, l’enclos doit offrir suffisamment de possibilités de fuite afin que lapins et compagnie puissent se cacher en cas de menace et qu’ils ne paniquent pas.

Enfin, il est aussi important que l’enclos soit sécurisé contre les trous permettant de s’en échapper. Les lapins en particulier aiment construire des couloirs et des cavernes. Afin qu’ils ne creusent pas pour sortir de l’enclos, ce dernier devrait être légèrement encastré dans le sol.

Maladies et vaccins :
Agents infectieux de la myxomatose

Les maladies infectieuses les plus connues chez le lapin sont RHD/VHD (Maladie hémorragique virale du lapin) et la myxomatose. Ces maladies sont des maladies virales transmises par des insectes piqueurs. Le taux de contagion est également très élevé. Si un lapin souffre de RHD, il mourra, car toute guérison est impossible. De même, la myxomatose ne peut faire l’objet que d’un traitement symptomatique. C’est pourquoi il est particulièrement important de faire déjà exécuter les vaccins dès le mois de février.

Parasites et autres « enquiquineurs » :

Le plein air offre davantage de possibilités d’entrer en contact avec des agents infectieux que l’appartement. Lorsque les températures sont élevées, les mouches, comme la mouche bleue par exemple, sont particulièrement dangereuses.

Si un animal souffre de diarrhée par exemple, et la zone de son derrière n’est pas tout à fait propre, ou s’il a des plaies ouvertes, les mouches peuvent alors y déposer leurs œufs. Les vers éclosent et vont sous la peau. Cela peut rapidement occasionner de grosses douleurs. La visite chez le vétérinaire devient alors inévitable ! C’est pourquoi il est particulièrement important de contrôler les animaux chaque jour et ce, de manière approfondie.

Dans des cas exceptionnels, les lapins et les cochons d’Inde peuvent aussi avoir des problèmes de tiques. C’est pourquoi il faut les examiner régulièrement.

Si des chiens et des chats séjournent aussi dans le jardin, il est bien de faire contrôler régulièrement par un vétérinaire si les excréments de votre propre animal domestique comportent des vers ou de lui faire administrer un vermifuge à titre préventif.

Plantes vénéneuses :
Séneçon de Jacob

Différentes plantes et herbes peuvent être toxiques pour les lapins et les rongeurs. La consommation de ces plantes peut porter atteinte au corps de manières tout à fait différentes. L’appareil digestif, tout comme le foie, les reins, les vaisseaux sanguins et le système nerveux peuvent être touchés. Il est donc recommandé d’examiner la zone à l’intérieur et autour de l’enclos et de choisir éventuellement un autre endroit si vous y découvrez des plantes vénéneuses. L’oseille, le séneçon de Jacob, les digitales et les renoncules, entre autres, comptent parmi les plantes vénéneuses. Mais des plantes du jardin comme les glycines, les ifs, le buis toujours vert et le laurier-cerise peuvent être vénéneux aussi.

Nos thèmes de l’automne

En avant pour l’automne !

Le temps est plus gris et l’été doit lentement faire la place à l’automne. Quelques lapins et cochons d’Inde restent dehors à l’air frais également par temps humide, d’autres, à leur tour, rentrent à la maison. Dans les deux cas, les animaux commencent à se préparer à la saison froide et vous pouvez les y aider.
Ce n’est qu’une question d’habitude !
Lapins en automne

Les lapins et les cochons d’Inde, qui ont sinon vécu à la maison et peuvent vivre à l’extérieur à partir de maintenant, doivent être habitués seulement lentement par beau temps à être tenus en plein air.

Seuls les animaux en bonne santé et adultes conviennent pour la tenue en plein air. Leur système immunitaire étant plus faible, les seniors (lapins à partir de 6 ans, cochons d’Inde à partir de 5 ans) et les animaux jeunes, malades, faibles, et attendant des petits, sont souvent plus en sécurité à la maison.

Si les lapins passent du jardin à la maison pour la saison froide, nous recommandons d’y procéder tôt (idéalement avant le début de l’automne), car ils commencent sinon à se défausser de leur pelage d’été pour enfiler leur pelage d’hiver. Ce n’est pas nécessaire dans la maison et ils auraient trop chaud.

La tenue à l’extérieur ne convient pas pour les lapins rex et les races à poil long en raison de la constitution de leur pelage.

La mue

La mue peut être très épuisante pour un lapin. Il doit se nettoyer abondamment pour se défausser de son vieux pelage. Ce faisant, il lui arrive d’avaler des poils, ce qui peut entraîner la formation de boules de poils et ainsi des problèmes de digestion.

Naturellement, il n’est pas possible d’éviter entièrement la mue, même en cas de tenue en plein air. Une horloge biologique indique aux animaux le moment de changer de pelage. Un bon entretien du pelage et une bonne alimentation sont particulièrement important pendant cette période.

Entretien du pelage
Le soin du pelage des lapins

Le commerce spécialisé propose une grande sélection de peignes et de brosses pour l’entretien du pelage. Il est important que ceux-ci soient doux et que leur utilisation ne risque pas de blesser les animaux. Pour peigner, le mieux est de le prendre et de le soulever d’une main autour de la poitrine et du bassin et de le mettre sur ses genoux. L’entretien du pelage pendant la mue ne doit pas être négligé surtout pour les races à poil long pour éviter la formation de nœuds. Un brossage ou peignage quotidien est même recommandé pour ces races.

Alimentation
Alimentation en automne

Pour aider la mue et faciliter l'adaptation aux intempéries (aussi bien en cas de tenue à plein air qu’à l’intérieur), nous recommandons de donner bunny proFIT balance (http://bunny-nature.de/ernaehrung#.hf) aux animaux en plus de leur alimentation de base.

bunny proFIT balance contient de la levure de bière, qui à son tour contient de la biotine et de la vitamine B1, B2 et B6. Associé à de la vitamine A et du zinc, cela renforce le métabolisme de la peau et favorise la mue.

proFIT balance existe pour tous les petits mammifères folivores/herbivores (phytophages) et pour les mammifères granivores (se nourrissant de graines). Les lapins n’étant pas les seuls animaux à changer de pelage, nous recommandons de donner proFIT à tous les autres petits mammifères pour les aider dans cette phase.

Un foin de très grande qualité, comme par exemple notre Foin bunny FrischGras ou le foin bunny provenant de prairies de réserves naturelles ne doivent pas non plus manquer au menu. C’est particulièrement important pour la digestion.

Protection contre les intempéries
Les lapins dans le feuillage

À la fin de l’été et en automne, les températures sont déjà très fraîches, surtout pendant la nuit. La pluie, le vent et le soleil s’alternent fréquemment. Il faut donc rendre l’enclos extérieur résistant aux intempéries et ce, assez tôt. Une maisonnette sèche et isolée est importante. Les lapins et les cochons d’Inde doivent avoir la possibilité de pouvoir se réfugier par temps froid et de pluie. La litière mouillée doit être remplacée régulièrement par une litière propre et sèche. Le paillis d’écorce convient bien comme litière pour l'extérieur, car il absorbe bien l’humidité et tient chaud.

Maladies

Mesures préventives

Un contrôle de santé quotidien est important pour prévenir les maladies. L’absorption d’aliments et d’eau, le poids, les dents et le pelage doivent être contrôlés régulièrement. Il est recommandé de soigner les animaux malades en le tenant à l’intérieur, en particulier en cas de maladies infectieuses graves. Ton vétérinaire traitant aide à décider si l’animal malade doit passer toute la saison froide à l’intérieur ou s’il peut être de nouveau tenu à l’extérieur après sa guérison.

Maladies des voies respiratoires

Le rhume du lapin est une maladie des voies respiratoires fréquente chez les lapins. Les animaux atteints du rhume du lapin présentent des symptômes plus distincts pendant la période automnale. C’est pourquoi il faut bien peser le pour et le contre avant une tenue en plein air. Le rhume du lapin peut se traduire par un écoulement nasal jusqu’à une infection grave des bronches et du poumon.

Nos thèmes printaniers

C’est enfin le printemps......

L’hiver froid et sombre est passé et le printemps est enfin là. Nos animaux se réjouissent tout autant que nous de l’arrivée des premiers rayons chauds du soleil.

Mais que font donc les lapins, cochons d’Inde et Co. au printemps ? Nous avons compilé quelques informations pour vous.

Lapins

Les lapins se réjouissent énormément de l’arrivée du printemps. Ils peuvent enfin quitter leur quartier d’hiver à la maison pour rejoindre le jardin ou pour jouir de quelques heures au soleil dans un enclos à l’air libre. L’épais pelage d’hiver n’est plus nécessaire désormais et la mue commence.

Les lapins doivent d’abord être réhabitués à l’herbe fraîche avant de passer des journées à l’air libre. Une trop grosse consommation d’un coup peut entraîner des problèmes de digestion et mal au ventre. Il vaut donc mieux donner auparavant de petites portions quotidiennes.

Le printemps est aussi la période des vaccins. La myxomatose et RHD ( Maladie hémorragique virale du lapin) sont les maladies du lapin les plus fréquentes et sont mortelles dans la plupart des cas. Pensez à faire renouveler les vaccins régulièrement.

Cochons d’Inde

Les cochons d’Inde aussi aiment les premiers rayons de soleil et pour beaucoup d’entre eux cela signifie : en route vers le quartier d’été. Les cochons d’Inde ont un estomac sensible et c’est justement quand l’herbe est si bonne et fraîche que l’on veut aussi en manger beaucoup. Habituez vos animaux à l’herbe en leur offrant à nouveau de petites portions avant l’excursion dans le jardin.

Hamster

Pour les hamsters restant en liberté, la période de reproduction commence au printemps. Le territoire étant marqué davantage pendant cette période, les glandes latérales sont gonflées et légèrement humides. Cela peut aussi être le cas même s’ils sont maintenus comme animaux familiers. Le poil des hamsters à long poil peut donc déjà paraître tout emmêlé quand il sortent de leur maisonnette.

Hamster nain

Le poil du hamster russe en liberté se colore en hiver et s’éclaircit. Au printemps, il devient alors lentement plus foncé. Même lorsqu’il est maintenu comme animal familier, la couleur du poil de notre petit bolide peut changer.

Dégu

Les dégus sont originaires du Chili. La période de l’accouplement se situe entre septembre et octobre, car pendant ces mois-là, c’est le printemps au Chili. Les jeunes viennent au monde env. 3 mois plus tard. Cela a moins d’importance s’ils sont maintenus comme animaux familiers.

Chinchillas

Les chinchillas se réjouissent également de l’arrivée du printemps, car cela signifie : fini le pelage chaud ! Les chinchillas doivent souvent lutter contre la mue au printemps.

Gerbille

En liberté, la gerbille de Mongolie passe l’hiver froid de préférence dans son habitat. Au printemps, elle utilise volontiers les journées chaudes pour aller à la recherche de nourriture et profiter du soleil. Pendant les nuits fraîches du printemps, elle est inactive comme en hiver. Nos gerbilles maintenues comme animaux familiers se réjouissent également de l’arrivée du soleil et jouissent volontiers d’un bain de soleil.

Cueillette d’herbes sauvages

Au printemps, quand les journées s’allongent et le temps s’adoucit, la nature s’épanouit à nouveau officiellement. C’est à nouveau le moment de cueillir des herbes sauvages. Non seulement les lapins et les cochons d’Inde se réjouissent de manger de pâquerettes et des pissenlits délicieux. Les gerbilles aussi, par exemple, aiment l’herbe fraîche.

De nombreuses herbes sauvages sont non seulement vraiment délicieuses pour nos petits rongeurs, mais elles sont également saines et apportent de la diversification à la maison..

Mais quelles herbes sauvages pouvons-nous vraiment leur donner à manger ?

Il est d’abord important de ne pas cueillir les herbes au bord de la route. Les herbes y sont souvent polluées. Les endroits les plus appropriés sont les prairies non-traitées ou votre propre jardin. De nombreuses herbes sauvages ont une apparence similaire. En cas de doute, il vaut mieux renoncer. Sinon, nos petits chéris mangent avec plaisir, entre autres, des plantes comme le pissenlit (riche en calcium, donc n’en donner qu’avec modération), les pâquerettes, l’égopode podagraire et la stellaire.

Les herbes du jardin aussi très appréciées, entre autres, chez les gerbilles. Le persil frais ou le basilic sont mangés volontiers.

L’important est de donner les herbes fraîches et l’herbe avec modération pour éviter les problèmes de digestion.

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